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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 17:02

- 10 juin 2010 -

L'OPH de Calais devait détruire un bâtiment vétuste pour les humains mais bien utile pour héberger les hirondelles de fenêtre.

Après différentes rencontres, Mme Courmont,  Présidente de cet organisme de logements sociaux, et le Directeur Général, M. Haullot ont décidé d'aider cette espèce en fort déclin dans le calaisis.

Ainsi, l'OPH a financé l'achat et la pose de 143 nichoirs Schwegler (en béton de bois) répartis sur différents bâtiments proches de l'immeuble à démolir.

 

Ce sont donc des habitations de luxe qui ont attendu l'arrivée de nos amies ailées à la grande joie des locataires du quartier.

 

Delichon urbica (eh oui, c'est le nom donné par les scientifiques à cette dévoreuse d'insectes) ne s'est pas fait priée puisque dès le lendemain de la pose la plupart des nids étaient visités et adoptés.

 

BRAVO DONC A L' OPH DE CALAIS

POUR SON INVESTISSEMENT EN FAVEUR DE LA PROTECTION DES ESPECES EN DIFFICULTE. 

 

Nord-littoral-capture

 Article du Nord Littoral

CLIQUEZ SUR L IMAGE POUR ACCEDER A L'ARTICLE

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 10:01

A l'ouest de Calais, il ne subsiste plus qu'une seule colonie d'Hirondelles de fenêtre située sur  les anciens bâtiments de la Gendarmerie. 

Avec l'aide des gendarmes, 86 nids (dont 1 colonisé par des moineaux) y ont été dénombrés le 16 décembre 2009. 

Nord Littoral Gendarmerie 16-12-01
(cliquer sur la photo pour accéder à l'article)
 

A noter que ces nids se concentrent uniquement sur les bâtiment anciens, les bâtiments plus récents sont  boudés par nos voyageuses.

Notre association a obtenu l'autorisation de faire le suivi de cette dernière colonie.
Rendez-vous a été également pris pour vérifier la présence éventuelle de Chauves-souris.

Un grand coup de chapeau aux gendarmes de cette caserne que nous avons sentis très sensibilisés par la protection des des espèces menacées.

Ont participé à ce comptage : 
David Dhaisne, Jean-Marc Struye, Mathieu Gens et Philippe Hochart

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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 19:20

03.07.2009

 
Cette année encore, de nombreux appels signalent à la LPO des destructions de nids d’hirondelles et de martinets : un acte illégal et passible d’une amende allant jusqu’à 9000 euros et de 6 mois d’emprisonnement. Pourtant des solutions existent.

Les martinets et les hirondelles viennent nicher sur les façades des maisons, des immeubles et de tous les bâtiments où il existe des infractuosités. Si leur arrivée fait le bonheur de certains, les salissures que peuvent causer leurs déjections sont jugées désagréables pour d’autres.

Pour régler le problème, des institutions publiques et des particuliers détruisent consciencieusement les nids. Pourtant, que ce soit accidentellement ou volontairement,  un tel acte est parfaitement illégal.

Par ailleurs, on constate que des destructions massives peuvent s’opérer par manque de précaution. Récemment, plusieurs centaines d’hirondelles de rivage ont été anéanties lors d’une opération réalisée par des engins dans une carrière.

La LPO rappelle que  toutes les espèces d’hirondelles et de martinets, des plus communes aux plus rares, sont protégées. Il est donc interdit de porter atteinte aux individus, à leurs nids et à leurs couvées (œufs et poussins).
Tout auteur d’une infraction est passible d’une amende de 9 000 euros et d’une peine d’emprisonnement de six mois.
(Articles L.411–1 et L.415-3 du Code de l’Environnement)

Aujourd’hui, la sauvegarde de ces oiseaux s’avère d’autant plus indispensable qu’ils connaissent un déclin alarmant en France. La destruction des nids reste, avec les pesticides et la profonde altération de leurs habitats, l’une des causes principales de leur déclin. Ainsi, entre 1989 et 2007, les effectifs d’hirondelles rustiques et de fenêtre ont chuté, chacun, de près de 39 %.

Pourtant, des solutions existent pour faciliter une cohabitation harmonieuse de l’homme avec ces oiseaux. Afin d’éviter les salissures sur les façades, il suffit, par exemple, de placer de petites planchettes en-dessous des nids (en vente sur LPO.fr), qui pourront également éviter aux jeunes de tomber au moment du nourrissage.

Malgré toutes ces précautions, si vous êtes témoin d’atteintes portées à ces oiseaux, vous pouvez agir directement. :

> Dans un premier temps, vous pouvez intervenir auprès des personnes responsables en tentant de les sensibiliser à la sauvegarde des nids.

> Si les personnes portant atteinte à ces espèces ne se montrent pas coopératives ou s’il y a urgence, vous pouvez alerter le service départemental de garderie de l’ONCFS (Office nationale de la chasse et de la faune sauvage), la police ou la gendarmerie nationale. Seuls ces organismes assermentés peuvent dresser procès-verbal d’infraction.

> Vous pouvez également avertir la LPO qui pourra tenter une démarche amiable à vos côtés et, le cas échéant, se porter partie civile.

La protection de ces fragiles oiseaux migrateurs participe d’une action citoyenne. Il appartient donc à chacun de nous, sur la base d’une démarche simple et concrète, de veiller à la sauvegarde de ces ambassadeurs du printemps.

Allain Bougrain Dubourg
Président LPO


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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 08:13

Les journalistes du journal Nord Littoral ont été sensibilisés par les actions de Naturalistes Sans Frontière.
Trois pages ont été consacrées à la protection des Hirondelles et des Chauves-souris.
 Un grand merci au journal NORD LITTORAL

CLIQUER SUR L'IMAGE POUR TELECHARGER LA SUITE.


CLIQUER SUR LA PAGE DU JOURNAL POUR TELECHARGER LA SUITE DE L'ARTICLE
OU SUR CE LIEN :   http://nsf.blog.free.fr/public/L_ASSOCIATION/nord_littoral_29-03-09.pdf

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28 juin 2008 6 28 /06 /juin /2008 22:50

vendredi 27.06.2008, 04:53 - La Voix du Nord

HÔTEL DE VILLE |

Ce dimanche matin, armés de jumelles et d'une bonne dose de patience, dix membres de la section « Le Milouin » du Groupe ornithologique et naturaliste (GON) du Nord - Pas-de-Calais ont arpenté les rues du quartier de l'Hôtel-de-Ville à la recherche des nids d'hirondelle. C'est dans cette partie de la ville que les colonies sont les plus vivaces.

Le nez en l'air, une bonne paire de jumelles et un plan de la ville sont
les outils indispensables d'un recensement rigoureux


L'hirondelle de fenêtre serait-elle amenée à disparaître de nos cieux
? Les données chiffrées parlent d'elles-mêmes. En 1997, date du premier dénombrement, la ville comptait 215 nids de couples nicheurs. L'année dernière, ce chiffre tombait à 59. Pierre-René Legrand, responsable de la section locale du GON s'inquiète : « On ne parvient pas encore à trouver d'explication à cet effondrement. Si les effectifs d'une espèce ne sont plus suffisants, on peut parler d'extinction ».

Plusieurs facteurs d'origine humaine aggravent cette raréfaction. La pollution et les pesticides employés seraient à l'origine de la disparition de certaines espèces d'insectes volants, indispensables à l'alimentation du volatile.

Certains ornithologues avancent également le fait que l'hirondelle manquerait cruellement de matière première nécessaire à la fabrication de son nid dans les zones urbaines. Des tas de terre et de boue sont alors disposés ça et là dans certaines villes pour qu'elles puissent s'approvisionner plus facilement.

Il semblerait qu'il y ait aussi une intolérance des gens. « On ne comprend pas pourquoi cet oiseau a perdu son capital sympathie ».

Les ravalements et les travaux d'entretien des habitations détruisent les colonies existantes et anéantissent même les couvées s'ils sont réalisés en pleine saison de reproduction, d'avril à septembre. Les salissures dues aux déjections des oiseaux sont rarement bien tolérées. Il suffirait simplement de disposer une planchette sous le nid pour éviter ces désagréments.

Jusqu'à 9 000 euros d'amende

Les difficultés liées à ce dénombrement s'étendent aussi en Afrique. L'hiver, l'hirondelle migre vers ce continent et devient difficilement localisable. La loi du 10 juillet 1976 sur la protection de la nature, modifiée le 5 mars 1999, fixe la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Elle interdit notamment la destruction de nids d'hirondelles. Tout responsable d'une telle infraction s'expose à une amende pouvant aller jusqu'à 9 000 euros et/ou à une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 6 mois.

Des expériences sont bien menées pour tenter de faire revenir ces volatiles. Courant mars, Jean-Luc Delavalle, animateur au service éducation à l'environnement de la Ville, a procédé à l'installation de dix-huit nichoirs sur les façades des écoles maternelles et élémentaires Anatole-France. Mais pour le moment, ils sont vides. « L'hirondelle de fenêtre est un oiseau complètement dépendant des constructions de l'homme », souligne Pierre-René Legrand.

Si vous souhaitez contribuer au recensement de ces oiseaux, symbole de porte-bonheur et annonciatrice du printemps et faire savoir si un nid est occupé près de chez vous, vous pouvez le contacter. Il se chargera de les répertorier. •

Ø      Section « le milouin » du GON, Tél : 03 62 92 33 41.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Villeneuve_d_Ascq/actualite/Secteur_Villeneuve_d_Ascq/2008/06/27/article_premiere-journee-de-recensement-des-nids.shtml

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4 avril 2008 5 04 /04 /avril /2008 08:56


Ne manquez pas les prochaines activités de l’Aquascope Virelles. Les voici présentées par ordre chronologique :

Les hirondelles, annonciatrices du printemps, symboles de chance et de bonne fortune, apparaissent chez nous lors des premiers beaux jours de mars. Deux espèces, l’Hirondelle de cheminée et l’Hirondelle de fenêtre, sont très populaires auprès du grand public. Nichant souvent à proximité ou dans les habitations humaines en milieu rural et urbain, elles peuvent également s’observer au bord des rivières et des étangs, et peuplent ainsi une grande diversité de milieux.

Saviez-vous que :


- la construction des nids nécessite 8 à 18 jours de travail ;                                                 
- l’extérieur du nid est façonné à l’aide de 700 à 2800 boulettes de boue ;
- les hirondelles font près de 500 allers-retours par jour pour ravitailler les jeunes ;
- une hirondelle peut rapporter 7 g d’insectes soit près de 7000 proies par jour !

Nos hirondelles sont intégralement protégées par la loi mais se raréfient de plus en plus dans certaines contrées. Elles doivent faire face à de nombreuses menaces pesant sur leurs habitats traditionnels. Il est donc primordial de préserver leurs habitats, ainsi que leurs nids en évitant toute action sur ou aux abords des nids pendant la période de nidification c’est-à-dire d’avril à septembre.

Le dimanche 20 avril, l’Aquascope Virelles, vous propose une journée consacrée à la découverte de nos trois espèces d’Hirondelles .

Comment les reconnaître ?

Que faire pour les aider ?

Nul besoin d’être ornithologue pour les découvrir et les apprécier !    



Programme de la journée :

  • Quizz des hirondelles

  • Projection du film "Bonjour les hirondelles"

  • Conférence

  • Pose de nichoirs et placement de bacs à boue                                   

  • Inauguration de la première tour à hirondelles en Belgique

  • Activités pour enfants : construction de nichoirs, réalisation de mobiles, jeu sur la migration, contes ...

  • Stand de l'Antenne Régionale Natagora Entre-Sambre-et-Meuse

  • Stand du Groupe de Travail Hirondelles de Natagora

  • Observation des oiseaux à la longue-vue ...

Prix : Animations gratuites pour les visiteurs de l'Aquascope, moyennant paiement du droit d'entrée, et pour les détenteurs d'un abonnement.

http://www.aquascope.be/agenda.html 

Une journée organisée en partenariat avec

le Groupe de Travail Hirondelles de Natagora et

l'Antenne Régionale Natagora Entre-Sambre-et-Meuse

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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 21:37

 


La Voix du Nord
VILLENEUVE, 23 mars 2008

ENVIRONNEMENT
Des hirondelles appelées en renfort dans la lutte contre les moustiques
Pour préserver, voir rétablir, la biodiversité, le service du développement durable de Villeneuve-d'Ascq a procédé mercredi, avec l'aide des services techniques, à la pose de nichoirs à hirondelles au groupe scolaire Anatole-France. Les insectes ne vont pas aimer!
PAR FRANCK BAZIN

Si vous doutez de l'intérêt d'installer des nichoirs pour les hirondelles, une conversation, même brève, avec Jean-Luc Delavelle aura tôt fait de vous convaincre. Ce passionné travaille à la ferme du Héron, au service du développement durable. Et la vie des hirondelles ou des martinets n'a pas de secret pour lui: «Quand il quitte le nid, par exemple dans cette anfractuosité du mur, le jeune martinet s'envole pour ne retoucher le sol que trois ans plus tard, pour la ponte puis le nourrissage des petits!» Les hirondelles, plus rares, passent plus de temps à terre. Leur problème, outre la raréfaction des insectes due à l'utilisation de pesticides, est la disparition de leur habitat: «Les gens détruisent les nids parce qu'ils ne veulent pas de salissures sur leur maison. C'est un phénomène gênant mais bref. Juste après l'éclosion, les parents absorbent les déjections des petits. Plus tard, ils regroupent les excréments dans un petit sac qu'ils éloignent du nid. Ce n'est
qu'après, quand les petits grandissent mais ne sont toujours pas en âge de voler qu'ils se positionnent pour faire leurs besoins à l'extérieur du nid. Il est possible d'installer une planchette, une quarantaine de centimètres en dessous du gîte pour protéger la façade.» L'hirondelle est donc un oiseau charmant mais c'est peut-être un peu juste pour convaincre les habitants d'installer des nichoirs chez eux: « Pour nourrir leurs petits, les hirondelles absorbent 7000 insectes par jour.» Dont des moustiques! Là, alors que le printemps (certes un peu frisquet) pointe son nez, on a un argument plus convainquant. Favoriser le retour des hirondelles, c'est briser un cercle vicieux: comme les produits chimiques ont réduit le nombre d'insectes, le nombre de prédateurs en a aussi souffert. Ce qui permet aujourd'hui aux moustiques de revenir en force! Le service du développement durable veut non seulement offrir des lieux de vie à ces oiseaux, mais aussi faire passer un message:
«Nous avons choisi une école pour que les enfants puissent observer le phénomène.» Neuf nichoirs pour hirondelles de fenêtre ont été accrochés au premier étage des classes maternelles, neuf autres sous les chéneaux du bâtiment des primaires du groupe scolaire Anatole-France. Trois nichoirs supplémentaires, pour hirondelles rustiques, ont trouvé place sous le préau. Reste à savoir si les hirondelles vont trouver les gîtes à leur goût: «J'en ai installé un chez moi et il est toujours vide... Mais ici (juste derrière la ferme d'En-Haut), il y a une colonie d'hirondelles de fenêtre dans les environs.» Rendez-vous dans quelques jours pour savoir si, de retour d'Afrique, les migrateurs prendront possession des préfabriqués. Après, Jean-Luc Delavelle pourra penser aux chauves-souris.

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28 décembre 2007 5 28 /12 /décembre /2007 12:13

samedi 22 décembre 2007 par Guillaume Houdant

Voici pour la nature et nos chères hirondelles une information bien réjouissante. En effet, il y a un an de cela, le site du Mont Moreland près de Durban en Afrique du Sud était menacé par la construction d’un aéroport visant à accueillir au mieux la coupe du monde de football qui s’y déroulera en 2010. Or, pour rappel, ce site est un haut lieu de rassemblement pour de nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs en Europe, dont les hirondelles qui viennent s’y réunir par millions.

Voici la copie du communiqué de presse en date du 12 Novembre 2007 :


Grâce aux discussions menées par BirdLife Afrique du Sud et aux pressions internationales, le refuge hivernal de 5 millions d’hirondelles rustiques devrait être sauvé. Le gouvernement vient en effet de renoncer à construire le nouvel aéroport La Mercy sur la roselière qui abrite ces oiseaux durant l’hiver. Les hirondelles seront d’autre part surveillées au moyen d’un radar pour éviter les collisions avec les avions, lorsqu’elles gagnent leur dortoir au crépuscule.

(...) 

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Il y a une année, BirdLife Afrique du Sud lançait un appel à la mobilisation internationale. Les autorités sud-africaines projetaient en effet de construire un nouvel aéroport sur le site même de ce gigantesque rassemblement d’hirondelles. (...) Les scientifiques, les amoureux des oiseaux et les communautés locales ont parlé d’une seule voix pour demander une étude d’impact et une modification du projet. Les organisations partenaires BirdLife, dont l’ASPO, se sont jointes au concert de protestations.

Un plan d’action pour sauvegarder les hirondelles a été rendu public par BirdLife. Outre la préservation et la gestion optimale des roselières, le gouvernement s’est engagé à mettre en place un suivi des groupes d’hirondelles au moyen d’un radar. Il permettra aux avions d’être alertés par la tour de contrôle et de modifier leur trajectoire lors des décollages et des atterrissages. (...)

« Ce résultat est vraiment réjouissant » exulte Neil Smith, responsable de la conservation auprès de BirdLife Afrique du Sud. « Sans l’engagement international de milliers de protecteurs des oiseaux, les hirondelles auraient sans nul doute été condamnées ».

François Turrian, vice-directeur de l’ASPO ajoute : « les oiseaux ne connaissant pas les frontières, il est nécessaire de mettre en œuvre leur protection à l’échelle des continents ; les hirondelles du Mont Moreland qui passent le printemps et l’été sous nos latitudes sont devenues des symboles de cette réalité ».


Voici une victoire de taille pour tous les amis de la nature et des hirondelles. Nous pouvons remercier les acteurs de cette réussite pour le travail qu’ils ont fourni et qui fut sans doute, une fois de plus laborieux mais ô combien exaltant.

SOURCE :  

http://www.picardie-nature.org/spip.php?article363#nb1

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